Le réveil n’a pas encore sonné, un besoin naturel nous a éveillé. J’ai appris récemment que ces envies étaient liées non seulement à la quantité de liquide absorbée la veille mais aussi à la circulation sanguine, l’eau accumulée dans les veines des jambes dans la journée s’évacue la nuit. Depuis, je me dis que c’est la jambe légère que je rejoins les toilettes.
Recouchée, on laisse son esprit vagabonder, on sera debout dans une heure, c’est en sorte comme une grasse matinée à 5 heures du matin. L’été, c’est encore mieux : on peut ouvrir les rideaux et savourer cette heure bleue si magique.
Là, on écoute le vent, les rafales s’apparentent-elles à la septième vague ? Que nenni.
On visualise sa journée à venir, on l’organise. Dans une heure, tout se fera automatiquement, s’enchaînera avec un semblant de naturel. On pense à tous les gens qui retiennent notre attention, proches ou pas, connus ou pas.
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