Deux primo-arrivantes sont scolarisées depuis ce matin dans nos classes. Deux mignonnes arrivées, il y a moins d'une semaine dans notre pays. Dans la journée, j'ai pensé à ce qu'elles vivaient. Arriver sous un autre climat, et dame, aujourd'hui, la tempête s'en donnait à cœur joie, dans une école où elles ne connaissaient personne, ne parlant pas notre langue, dans des classes différentes. Leurs parents travaillants elles sont restées à la cantine. Ce soir, ils sont arrivées en retard pour la sortie. Elles sont restées seules avec nous … Eh bien pas une larme … Je pensais à mes fils, les aurai-je laissés ainsi à 6 ans … aurai-je eu la confiance que l'on nous a accordée, n'auraient-ils pas pleuré ?
Je vous admire Mignonnes.
Faut-il n'avoir jamais pris un enfant par la main, autre que devant les appareils photos des paparazzis, pour les renvoyer chez eux. ? Comment peut-on être si inhumain ? Ils ne viennent pas manger notre pain mais cultiver nos tomates !
Je t'admire Maîtresse des Mignonnes !
RépondreSupprimerJe t'admire pour ta générosité tout comme j'admire ces deux p'tites mignonnes pour leur courage.
RépondreSupprimerEmouvant témoignage maitresse.
RépondreSupprimerbonjour
RépondreSupprimerje passe un peu tard lire cette note, mais combien je trouve courageuses ces "mignonnes" en effet, et combien je devine votre émotion et votre grand coeur... si ! si !