Ta définition du bonheur est pas mal! Belles couleurs.... Tes photos, des lumières comme je les aime. Nous en méditerranée nous n'avons pas les marrées. Tes photos sont donc très depaysantes pour moi. C'est un peu toit ça que j'ai enviede connaître. Mon mari, normand, connaît ces paysages mais moi non. Belle journée. Toujours pas ma photo pour demain! Barbara
Ah vi, c'est pas mal aussi à marée haute ;-) je me voit bien sur la petite terrasse en train de prendre mon petit déjeuner au soleil, avant d'aller faire une tite viré sur l'eau, histoire de dégourdir le gouvernail...
Merci pour le courriel, je viens de répondre... marrant, il me semble avoir laissé un "papotage" ici hier, mais il a disparu... je disais cela doit être assez chouette de vivre les pieds dans l'eau comme ça, et pouvoir partir avec la marée, sans même se déplacer en bagnole jusqu'au le mouillage du bateau... le pied. Cela me fait penser au livre de Jean Raspail, les Yeux d'Irène, qui se passe en Brétagne... amicalement...
Mon rêve... et doit être sympa a marrée haute...
RépondreSupprimerTa définition du bonheur est pas mal! Belles couleurs.... Tes photos, des lumières comme je les aime. Nous en méditerranée nous n'avons pas les marrées. Tes photos sont donc très depaysantes pour moi. C'est un peu toit ça que j'ai enviede connaître. Mon mari, normand, connaît ces paysages mais moi non. Belle journée. Toujours pas ma photo pour demain!
RépondreSupprimerBarbara
Oui ....à marée haute: http://boutoucoat.over-blog.com/article-26171295.html
RépondreSupprimerLa marée basse n'existe que pour apprécier la marée haute !
RépondreSupprimerAh vi, c'est pas mal aussi à marée haute ;-) je me voit bien sur la petite terrasse en train de prendre mon petit déjeuner au soleil, avant d'aller faire une tite viré sur l'eau, histoire de dégourdir le gouvernail...
RépondreSupprimerMerci pour le courriel, je viens de répondre... marrant, il me semble avoir laissé un "papotage" ici hier, mais il a disparu... je disais cela doit être assez chouette de vivre les pieds dans l'eau comme ça, et pouvoir partir avec la marée, sans même se déplacer en bagnole jusqu'au le mouillage du bateau... le pied. Cela me fait penser au livre de Jean Raspail, les Yeux d'Irène, qui se passe en Brétagne... amicalement...
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